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FRANCE SPECTACLES

FRANCE THEATRES

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Festivals et Tournées

LES FORMATIONS DU SPECTACLES

Lexique, définition, rôle et mission.

Régisseur (théâtre)

Au théâtre, le régisseur remplit la fonction délicate de préparation, de coordination, d'exécution d'une partie spécifique ou de la totalité de la mise en œuvre matérielle d'une représentation.


  • Le régisseur général, qui coordonne l'ensemble des régies spécifiques, est le collaborateur immédiat du directeur technique. Il est aussi l'interface entre l'équipe de création (metteur en scène, décorateur...), tous les techniciens intervenant sur une production et l'administration (budget, embauche d'intermittents...).
  • Le régisseur de plateau organise avec le chef machiniste le travail des machinistes et veille à la préparation du plateau, au montage et au démontage du décor.
  • Les régisseurs lumière et son font de même en ces domaines.

Décorateur (théâtre)

Le décorateur de théâtre est un spécialiste, qui est chargé de la décoration de l'espace scénique (le décor de la pièce). Son rôle est similaire à celui du chef décorateur au cinéma. Il assure la scénographie d'une pièce. On l'appelle de ce fait parfois aussi « scénographe. » Certains peintres ou artistes réputés ont réalisé des décors de pièces de théâtre, de ballets ou d'opéras.


Le décorateur doit, lorsqu'il imagine un décor, concilier les exigences du metteur en scène avec sa propre conception d'artiste pour créer le cadre dans lequel les acteurs vont évoluer. À partir du texte de la pièce il va créer un environnement (mobilier, objets, couleurs) destiné à réaliser une ambiance et à mettre en valeur les personnages.


Il ne se contente pas de concevoir les décors, mais doit assurer le suivi de leur construction et de leur montage. C'est à lui que revient la tâche de choisir les matériaux et les techniques utilisées. Vis-à-vis de la direction du théâtre, le décorateur-scénographe est responsable du respect des délais ainsi que du budget. Il reste constamment en liaison avec le metteur en scène, et travaille en équipe avec les autres professionnels du spectacle.


Le respect des délais - le décor doit être prêt pour la générale - l'amène souvent à travailler dans l'urgence.


Chaque année, lors de la Nuit des Molières, un décorateur est récompensé par l'attribution du Molière du décorateur scénographe pour la conception et la réalisation du décor d'une pièce de théâtre (ou d'un opéra) créée dans l'année.


existe plusieurs formations conçues pour ceux qui veulent se préparer à ce métier :


  • formation dans une école supérieure d'art : École nationale supérieure d'art dramatique de Strasbourg (ESAD-TNS), École nationale supérieure des arts et techniques du théâtre (ENSATT) à Paris, École du centre dramatique national de Saint-Étienne, École d'architecture de Clermont-Ferrand etc.
  • formation universitaire à la Fondation européenne pour les métiers de l’image et du son (FEMIS) à Paris.
  • formation dans des établissements privés : ESAT-École des arts et techniques : Groupe Hourdé à Paris, INFAC-Centre de formation des classes moyennes de Bruxelles.
  • formation à l'Ecole Nationale Supérieure des Arts Décoratifs de Paris (ENSAD).


Quelques décorateurs célèbres:


André Barsacq (1909-1973)

Jean Bazaine (1904-2001)

Émile Bertin (1878-1957)

Jacques Gabel

Roger Harth (1927-1982)

Richard Peduzzi (1943- ...)

Nicky Rieti (1927- ...)

Éric Ruf (1969- ...)

Raymond Sarti (1961- ...)

Nicolas Sire

Louis Touchagues (1893-1974)

Le Laurette théâtre recommande La Filière, centre national de formation professionnelle aux techniques du spectacle (CFTPS) et Institut Supérieur des Techniques du Spectacle (ISTS)


  • Administration
  • Décor et Accessoires
  • Direction Technique et Régie
  • Lumières
  • Plateau
  • Prévention des risques
  • Son
  • Vidéo

La grande majorité du personnel du théâtre vient ou est en formation au CFPTS (Paris) ou de l'ISTS (Avignon). 

Théâtre

Le théâtre est à la fois l'art de la représentation d'un drame, un genre littéraire particulier, et le bâtiment dans lequel se déroulent les spectacles de théâtre.


Jadis, le mot désignait également la scène ou le plateau, c'est-à-dire toute la partie cachée du public par le rideau.


Au sens figuré, « théâtre » désigne un lieu où se déroule une action importante (par exemple, un théâtre d'opérations militaires).


Aujourd'hui, à l'heure des arts dits pluridisciplinaires, la définition de l'art du théâtre est de plus en plus large (jusqu'à se confondre avec l'expression spectacle vivant), si bien que certains grands metteurs en scène n'hésitent pas à dire que pour qu'il y ait théâtre, il suffit d'avoir un lieu, un temps, un acte et un public.


Il s'agit de spectacles dans lesquels des acteurs, mis dans les circonstances et les situations créées par un texte et la vision d'un metteur en scène/réalisateur, incarnent des personnages pour un regard extérieur (le public), dans un temps et un espace limités. Les dialogues écrits sont appelés pièces de théâtre, mais il peut y avoir également du théâtre sans texte écrit ou même sans aucune parole. Dans la création contemporaine, les frontières entre les différents arts de la scène (théâtre, mime, cirque, danse...) sont de plus en plus ténues, si bien que certains professionnels n'hésitent pas à remplacer le mot théâtre par les mots spectacle pluridisciplinaire ou spectacle vivant, mettant ainsi l'accent sur le métissage des disciplines.

Intermittent du spectacle

Un intermittent du spectacle est une personne qui travaille par intermittence (alternance de périodes d'emploi et de chômage) pour des entreprises du spectacle (cinéma, télévision, théâtre ou autre spectacle vivant).


Les productions de ces entreprises sont le plus souvent par nature limitées dans le temps, ce qui les amène à contracter avec des artistes, techniciens, ouvriers, sur des périodes définies, quand bien même elles salarient éventuellement du personnel « permanent », en CDI, par ailleurs. Elles peuvent aussi engager un artiste ou un technicien, dans le cadre d'une production, pour un contrat d'une journée ou plus.


En France, ils sont salariés, et n'exercent pas en libéral, contrairement à ce qui se pratique de plus en plus dans d'autres pays européens comme l'Allemagne ou la Grande-Bretagne.


Cette situation particulière de succession de contrats à durée déterminée, d'alternance de périodes d'emploi et de chômage, a amené les partenaires sociaux siégeant à l'Unedic à aménager des dispositifs particuliers quant à leur accessibilité aux droits d'indemnité chômage (voir infra).


Si cette accessibilité dépend de critères définis par l'Unedic, la position d'intermittent du spectacle ne confère pas par ailleurs de statut particulier et ne dépend pas de cette accessibilité. En effet, du fait de ces critères, certains intermittents ne relèvent pas de ces dispositions, bien qu'ils exercent réellement un métier du spectacle de manière intermittente.


Historique :


  • En 1936 est créé le régime salarié intermittent à employeurs multiples pour les techniciens et cadres du cinéma.
  • En 1969, les artistes interprètes sont intégrés au régime d’intermittent, puis les techniciens du spectacle vivant.
  • Le 26 juin 2003, un protocole d’accord entre le MEDEF et trois centrales syndicales est signé, au cours duquel les annexes (8 et 10) sont modifiées. Depuis, 507 heures de travail sur 10 mois sont nécessaires pour être indemnisé pendant 8 mois.


Ces accords ont pour objet d'adapter à la convention d'assurance chômage en vigueur les dispositions des annexes à la convention du 1er janvier 1997.En outre, ces accords concourent au rétablissement de l'équilibre financier du régime d'assurance chômage. La CGT conteste le contenu de ces accords, considérant qu'ils dégradent les conditions d'indemnisation des intermittents du spectacle, de la production cinématographique et de l'audiovisuel, sans contribuer au rétablissement de l'équilibre du régime d'assurance chômage, ni remédier aux nombreux abus et fraudes qui seraient, selon elle, la cause essentielle de l'écart croissant entre les cotisations acquittées par ces professions et les prestations versées. Elle appelle les pouvoirs publics à exercer pleinement leurs responsabilités dans ce domaine. Enfin, ces accords auraient été négociés dans des conditions déloyales et signés par des organisations minoritaires. Une tractation a eu lieu entre François Chérèque (CFDT) et le Premier ministre de l'époque, Jean-Pierre Raffarin, en « échangeant » des conditions plus favorables pour les infirmières contre l'abandon des intermittents. Force ouvrière dénonce également l'absence de mesures permettant de lutter contre les abus et la précarité du travail, ainsi que d'une réflexion liant la situation de l'emploi avec le mode de financement du régime d'assurance chômage. Elle affirme que ces accords seraient incompatibles avec les dispositions législatives et réglementaires relatives à la détermination de l'allocation journalière, à l'équilibre financier du régime d'assurance chômage, ainsi qu'aux sanctions qui peuvent être arrêtées à l'encontre des employeurs ne respectant pas les obligations prévues en matière de contributions. Ces arguments ont également été soulevés dans les nombreuses observations qui ont été adressées au ministère des affaires sociales, du travail et de la solidarité, à la suite de la publication au Journal officiel de l'avis engageant la procédure d'agrément de ces accords.


Législation :


Les annexes 8 et 10 de la convention de l'assurance chômage établissent les règles concernant les indemnités de chômage pour les intermittents du spectacle. L'annexe 8 concerne les ouvriers et techniciens de l'édition d'enregistrement sonore, de la production cinématographique et audiovisuelle, de la radio, de la diffusion et du spectacle vivant. L'annexe 10 concerne les artistes du spectacle : comédiens, musiciens, danseurs...


Pour bénéficier des indemnités de chômage (octroyées par l'Assedic), qui est une Caisse Interprofessionnelle de Solidarité, l'intermittent doit justifier un certain nombre d'heures au minimum dans une période donnée. Actuellement — au 1er janvier 2006 —, il faut avoir travaillé 507 heures (soit approximativement 3 mois de travail à 8 heures par jour) au cours


  • Des 319 derniers jours pour les artistes
  • Des 304 derniers jours pour les ouvriers ou les techniciens


Soit 10 mois environ (A titre de comparaison, le régime général des Assedic demande 910 heures travaillées sur les 22 derniers mois- a mettre à jour, il semblerait que ce soit 610 heures sur les 28 derniers mois, depuis le 19 février 2009-). Cette législation est régulièrement renégociée au sein de l'Unedic de façon paritaire par les partenaires sociaux (les organisations et syndicats représentatifs des employeurs — dont le MEDEF et la CGPME — et des salariés, dont la fédération CGT du spectacle).


Polémique :


  • Ce régime, quasiment unique au monde, permet une certaine vitalité de la créativité artistique, mais il est critiqué sur certaines différences, vues comme des privilèges pour certains. De fait, les supposés privilèges ont amené nos édiles à un rabotage tel que, par exemple, 99% des intermittents auront une retraire inférieure au minimum vieillesse.
  • Le nouveau calcul de droits sur environ 10 mois (au lieu du calcul annuel qui existait jusqu'en 2003) élimine de ce régime spécifique un grand nombre d'artistes, de manière arbitraire pour certains.
  • Certaines entreprises du spectacle, notamment dans le secteur de la télévision, sont accusées d'abuser du système, en multipliant les contrats d'intermittent au détriment des contrat de travail à temps plein. Ce régime est parfois imposé à des employés précaires techniciens ou administratifs (standardistes, maintenance, etc...). La réforme de l'intermittence ne prévoit pas de mettre fin à ces pratiques, malgré les protestations des artistes et techniciens.
  • En février 2008 la cour des compte met à jour plusieurs irrégularités de la caisse des congés spectacle des intermittents.

Source Wikipédia

Comment les intermittents du spectacle ont été lésés par leur caisse professionnelle ? La Cour des comptes épingle une gestion qui a multiplié les irrégularités. Le monde

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